• Chaque année fidèlement mes jacinthes reviennent. J'en ai planté à plusieurs endroits dans le jardin mais c'est là, dans le patio, et uniquement là, qu'elles se plaisent. Allez savoir pourquoi ? La terre y est peut être moins compacte, plus drainée pour ces belles. En cette saison le soleil du matin assez longtemps. 

    Mes préférées. Douces, délicates, rose pâle comme des dragées. 

     

    Le retour des Jacinthes Le retour des Jacinthes

     

    Il y a aussi celles-ci bleues avec des reflets rose que je trouve ravissantes

    Le retour des Jacinthes Le retour des Jacinthes

     

    Dans le jardin, j'ai réussi celles-ci, toutes blanches, plantées l'année dernière. Elles ne sont même pas enterrées car il y a les racines du rhododendron. J'y jetterai un peu de terre et de compost.

    Le retour des Jacinthes Le retour des Jacinthes

     

    Ainsi, j'en conclue que les jacinthes n'aiment pas du tout les terrains trop compacts et détrempés pendant l'hiver. Elles apprécient de rester dans un terrain frais, certes, mais sec. Il leur faut aussi du soleil, l'ombre ne leur va pas.

    Je vais donc déplacer mes autres jacinthes et les mettre soit dans mon patio ou soit sous le rhododendron. Cela tombe bien il y a de la place.


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  • Oh je suis déçue ! Qu'est il arrivée à mes jolies bruyères qui m'enchantaient tellement depuis bien longtemps. Elles ont presque totalement grillée. Elles sont  ratatinées !  Je vais peut être sauver la plus grosse mais ce n'est pas certain mais la plus petite est vraiment mal en point.

    Qu'en pensez vous ? Peut être n'ont elles pas apprécié le grand chamboulement lorsque j'ai créée la petite mare. Est ce que ce sont des plantes qui n'aiment pas être déplacées ? C'est bien possible. Quel est votre avis ?

    Déception !

     C'était en avril dernier. Je vais les remplacer car je les aime trop.

     Déception !

     


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  • Lorsque j'ai un peu de temps, j'en profite pour visionner quelques bonnes vidéo de Jardin Jardinier. La chaîne des beaux jardins propose non seulement la visite de jardins de particuliers qui m'inspirent beaucoup mais aussi de bons conseils.

    Antoine Breuvart, pépiniériste, nous explique comment planter dans une terre argileuse. Il explique super bien et simplement comment faire. Je ne suis plus une vraie débutante mais un petit rappel est utile.

    Je partage avec vous car il faut bien le dire avec la fin de l'été qui approche nous avons des envies de plantations.


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  • Le week end dernier j'ai fait un petit tour à la jardinerie de Chevreuse, un vrai lieu de perdition surtout au printemps. Je voulais acheter un nouvel abri pour mes piafs (je vous le montrerai plus tard, il n'est pas installé) et puis j'ai vu en promotion de jolies griffes de muguet.

    Pourquoi ne pas planter ces petits porte bonheur sous la viorne à l'ombre fraîche ? J'avais déjà tenté sous le rosier liane mais il n'a pas voulu pousser. Je retente donc et cette fois çi. Sous la viorne l'ombre est moins dense. 

    Je les ai planté comme il convient, enfin je l'espère !

    Voici les jolies griffes 

    Planter le bonheur

    J'ai tout d'abord bien préparer mon bout de terrain pour la plantation. J'ai bien ameubli la terre sur une profondeur d’une quinzaine de centimètres. Il aurait fallu enfouir du compost pour enrichir le sol mais j'en avais mis cet automne, cela devrait aller. D'ailleurs les vers sont bien présents à cet endroit signe que la terre est bonne.

    J'ai bien entendu éliminé les petites racines et les mauvaises herbes. J'ai bien tout griffé mais il y a pleins de reste de graines tournesol, je n'ai pas tout retiré.

    Attention, il ne faut pas enterrer les racines mais les déposer sous 4 ou 5 cm de terre seulement. Il faut disposer les griffes bien à plat. C'est pas si simple, j'ai fait comme j'ai pu.

    Planter le bonheur

    Ensuite, vous les recouvrez d'un mélange de terre de jardin et de terreau de feuilles. Sur place, il restait un peu de mon paillis de feuilles mortes. Je l'ai mélangé avec la terre de jardin et un peu de terreau. Regardez un joli auxiliaire qui vient m'aider.

    Planter le bonheur

    Puis vous tassez la terre avec la paume de la main et vous arrosez en pluie fine.

    Planter le bonheur

    Et voilà ! il n'y a plus qu'à attendre. Par contre je ne sais pas si cela fleurira cette année ou l'année prochaine.

     

     


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  • Quelques jours après mon retour de vacances et quelques arrosages, je suis bien obligée de constater que mon jardin a beaucoup souffert de mon absence. C'est la désolation.

    C'est un choix de vie disent quelques uns de mes lecteurs et amis. Il ne faut pas partir en été ou bien prévoir une installation pour faire venir l'eau. Effectivement habituellement je ne part pas en juillet, j'attends septembre, mais nous ne faisons pas toujours ce que l'on souhaite lorsque l'on travaille. Ne pas partir aurait été la solution mais allez je n'ai qu'un jardin de poche et je ne suis qu'une jardinière du dimanche et les vacances sont pour la petite citadine que je suis une vraie bouffée d'air frais.

    Il faut voir le bon côté de la situation. C'est l'occasion de voir ce qui se plait dans le jardin par n'importe quel temps et ce qu'il faut prévoir de changer ou d'améliorer. J'apprends.

     

     les hortensias.

    Je les avais pailler mais pas suffisamment et surtout il n'y a pas de plante à leur pied pour leur donner un peu de fraîcheur. Il faut donc que je trouve de belles compagnes pour eux. Bon pour cette année, je ne pourrai pas en faire de jolis bouquets, fichu !

    Les pots

    Tout ce qui était en pot ressemble à ça. Tout grillé mais pas forcément foutu. Certaines vivaces comme ici ce joli géranium repartiront, les boutures d'arbustes pas sûr et mes semis n'en parlons même pas. Quant aux annuelles ce n'est décidément pas fait pour moi, elles sont toutes mortes et je n'en ai pas profité du tout et elles coûtent bien trop chères en eau. Ainsi je n'utiliserai les annuelles que pour des "effets bouquets" au jardin.

    Désolation

     Les arbustes

    Tous les arbustes plantés à l'ombre ont bien résisté, les feuilles sont un peu grillées mais ils se sont bien comportés et les premières pluies de l'automne devraient leur être bénéfiques. Le fouillis végétal les a certainement sauvés ainsi que le paillage. L'automne viendra juste un peu plus tôt pour eux.

    Par contre ceux plantés au soleil dans les bacs sur la terrasse sont en très piteux état et je ne crois pas les sauver. Je devrai repenser mon choix pour ces bacs et trouver de belles résistantes.

    Les leçons de l'été

    Les vivaces.

    Beaucoup ont disparu mais c'est la saison qui veut cela. Là encore les premières pluies devraient leur faire du bien. J'avais paillé et ceux qui sont à l'ombre n'ont pas trop soufferts. Par contre ceux qui sont au soleil ont totalement grillés. Je ne peux même pas vous les montrer, il n'y a que de la terre craquelée à la place. 

    Les leçons de l'été

    Il me faut donc trouver des plantes qui supportent la sécheresse pour mes bords de massif plus exposés au soleil. Pourquoi ne pas y mettre des aromatiques tel que l'origan qui semble tout supporter et font de beaux coussins, de beaux oeillets également pourraient convenir ainsi que les giroflées. Aussi des érigerons. Les graminées et autres carex se portent bien quelque soit leur emplacement. Les asters devraient être beaux cette année, plantés serrés il ont envahis les massifs. J'abandonne définitivement les phlox et les dahlias et je plante des chrysanthèmes. Pour moi également les verbana hastata et les scabieuses.

    Les leçons de l'été

    Les leçons de l'été

    Les leçons de l'été

     Les leçons de l'été

     Les leçons de l'été

     Les leçons de l'été

     Les leçons de l'été

     Les rosiers

    Plutôt une belle surprise. Aucun disparu. Les rosiers se portent bien lorsqu'on les oublie apparemment. Alors que je les avait taillé avant de partir, ils ont refait des boutons puis des roses que je n'ai malheureusement pas vu. Un nouveau nettoyage est nécessaire et ils devraient remonter encore puisque j'ai encore beaucoup de boutons.

    Les leçons de l'été

     Cette photo montre ce que je dois faire, un rosier accompagné de fenouil. 

    Les leçons de l'été

     Je dois choisir des increvables comme le faisait nos anciens, des plantes qui supportent l'humidité de nos hivers et la chaleur étouffante de nos étés. Je vais me replonger dans le livre "jardin de curé" et dévaliser les pépiniéristes de nouvelles merveilles.

    Les leçons de l'été


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